Genève : quand la planète joue sa survie sur nos déchets toxiques
Ce lundi, jusqu’au 9 mai, Genève deviendra la capitale mondiale de la lutte contre les déchets toxiques. Après la Convention de Bâle, ce sera au tour des Conventions de Rotterdam et de Stockholm d’entrer en scène. Ces trois accords internationaux, souvent méconnus du grand public, forment un trio de choc pour réguler la production, le commerce et la gestion des produits chimiques dangereux. Mais si les débats se tiennent dans des salles feutrées, les véritables batailles, elles, se jouent sur le terrain, notamment en RDC.
La Convention de Bâle a été conçue afin de réduire la circulation des déchets dangereux entre les pays
En 2023, la dette mondiale a franchi le seuil sans précédent de 97 000 milliards de dollars. Dans ce contexte global croissant d’endettement, la République démocratique du Congo se trouve dans une situation particulièrement préoccupante pour les énergies renouvelables.
Malgré l’ingéniosité qui transforme les déchets plastiques en poubelles écologiques et en briques autobloquantes, la capitale congolaise continue de faire face à une pollution alarmante. Avec plus de 10 000 tonnes de déchets solides produits chaque jour et l’absence d’une politique de gestion intégrée de ces déchets, la ville peine à offrir un environnement sain à ses habitants.
En RDC, où la perception négative des technologies numériques entrave grandement son adoption par certains agriculteurs, KivuGreen, une start-up spécialisée dans le développement durable et la protection de l’environnement, avait dû revoir sa stratégie de sensibilisation.
Bien que son tapis de course entièrement fabriqué en bois sans moteur soit une prouesse d'ingénierie, l'engouement pour l'innovation de Désiré Kabengele, un jeune ingénieur congolais de Goma, dans l’est de la République démocratique du Congo, peine à prendre de l'ampleur. Ce, malgré les appels de certaines associations à promouvoir ce projet.
Dans une visite qui symbolise l'espoir et l'innovation pour l’agriculture dans l’est de la RDC, l’équipe de Barka Fund a récemment découvert le travail révolutionnaire de KivuGreen, une start-up née d’un rêve audacieux. Avec pour mission de digitaliser le secteur agricole, cette start-up fondée par Chris Ayale, jeune entrepreneur et informaticien passionné, est en train de transformer la manière dont les petits producteurs de la région cultivent et commercialisent leurs produits.
Qui aurait cru qu’un stade pouvait être aussi bavard ? Si Gustave Wembo Kitenge, juriste multidiplômé congolais et inventeur du jeu de société GELU, nous en parle, c’est que l’emblématique stade Pierre-Mauroy de Lille (France) a bien des choses à raconter. Car ici, le sport ne se joue pas seulement avec les pieds ou les mains, mais aussi avec la tête !
À l’Assemblée nationale, le rapport d’Ebuteli publié ce 12 décembre fait l’effet d’un pavé dans une mare déjà bien trouble. Sur les 177 moyens de contrôle recensés entre 2020 et 2023, seuls 7% ont vu la lumière du jour. Les autres, comme des lettres au Père Noël, se sont perdues dans les méandres d’une bureaucratie législative digne d’un roman d’espionnage.
Les récentes déclarations du sénateur Aristide Bulakali sur une mission de l’Assemblée nationale congolaise en Ouganda font l'effet d'une bombe. Avec un style aussi tranchant que précis, l'élu du Sud-Kivu a livré une analyse géopolitique digne des meilleures parties de Risk.
Depuis cinq ans, la Régie des voies fluviales observe avec une certaine préoccupation que les armateurs sur les lacs Kivu et Tanganyika n’ont pas acquitté la taxe de navigation. Cette situation soulève des questions sur ce non-paiement, une problématique que la RVF peine à élucider. En réponse, les armateurs avancent une exigence cruciale : l’installation de balisages numériques sur ces lacs, afin de sécuriser et de moderniser la navigation.
Le potentiel de collaboration entre la RDC et le Nigeria se révèle immense, en particulier dans le secteur bancaire. L'interconnexion économique de ces deux géants africains, chacun doté de ressources naturelles colossales et d’un marché en pleine croissance, pourrait être un moteur de développement pour l’ensemble du continent.
Le ministre des Finances vient de frapper un grand coup. Avec 1,9 milliard de dollars fraichement signés auprès de la Banque mondiale, la RDC s’offre une place de choix dans la cour des grands projets de transformation. Et si ce n’était pas juste une annonce de plus ?
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