COPA 2024 : quand le temps s’allonge, les rêves s’élargissent !
C’est officiel : les procrastinateurs, les visionnaires en quête d’inspiration tardive, et même les retardataires peuvent souffler un grand "Ouf !". L’UCP Transforme, bras armé des ambitions entrepreneuriales congolaises, vient de repousser la date limite pour le dépôt des candidatures au Concours de plan d'affaires (COPA). Initialement prévue pour le 31 décembre 2024, cette échéance fatidique a doucement glissé au 28 janvier 2025.
Le COPA a été lancé à Bukavu le 15/10/2024 par le ministre provincial/Sud-Kivu, Bernard Muhindo. En arrière plan : Aline Feza Mihigo (cheffe d'Antenne Transforme/Bukavu) et Joël Tembo (chargé des opérations COPA Zone-Est, pour le compte du consortium de mise en œuvre (Deloitte-IF Entrepreneurial-KE)
Le ministre des Finances vient de frapper un grand coup. Avec 1,9 milliard de dollars fraichement signés auprès de la Banque mondiale, la RDC s’offre une place de choix dans la cour des grands projets de transformation. Et si ce n’était pas juste une annonce de plus ?
Depuis cinq ans, la Régie des voies fluviales observe avec une certaine préoccupation que les armateurs sur les lacs Kivu et Tanganyika n’ont pas acquitté la taxe de navigation. Cette situation soulève des questions sur ce non-paiement, une problématique que la RVF peine à élucider. En réponse, les armateurs avancent une exigence cruciale : l’installation de balisages numériques sur ces lacs, afin de sécuriser et de moderniser la navigation.
Alors que le programme COPA-TRANSFORME, porté par le consortium Deloitte–I&F Entrepreneuriat–Kivu Entrepreneurs, ambitionne de subventionner 800 PME dans 13 villes, Bukavu, réputée pourtant pour son dynamisme économique, n’a enregistré jusqu’alors que 17 candidatures. Ce chiffre, bien loin des 61 PME espérées si l’on divise équitablement les bénéficiaires, a fait bondir Paulin Mugisho, le point focal de ce consortium.
Devant une audience captivée, Christian Kalume Kayembe, expert en marchés publics et partenariat public-privé, a livré une présentation dynamique et riche sur les défis et opportunités que ces marchés représentent pour les PME. Ce, lors de la masterclass "Innovation et accès aux marchés publics et privés : opportunités de croissance pour les entreprises en RDC".
Un investissement de 21 milliards USD est nécessaire pour offrir l'accès à l'électricité à 400 millions de personnes d'ici 2030, selon un rapport. L’énergie solaire hors réseau, identifiée comme la plus rentable, est cruciale pour l'Afrique subsaharienne, où vit plus de 80 % de la population non électrifiée. En RDC, ce défi est particulièrement pressant, avec plus de 80 millions de personnes encore privées d’électricité, malgré un potentiel énergétique immense.
L’avenant 5 du contrat sino-congolais, censé financer des infrastructures en RDC, suscite des interrogations après la révélation d’un écart de 113 millions USD non justifié entre les montants prévus et ceux inscrits dans le budget rectificatif 2024. Malgré l’inscription des fonds dans la loi de finances, la gestion opaque de ces décaissements inquiète la société civile, qui appelle à un contrôle rigoureux pour éviter des détournements et garantir une transparence totale.
A l’horizon 2027, le monde du travail se transforme à une vitesse fulgurante, propulsé par l’innovation technologique et la nécessité de répondre aux défis environnementaux. Selon une étude du Forum économique mondial, dix métiers émergent comme ayant le plus fort potentiel de croissance. Ces professions, qui allient compétences techniques et sensibilité aux enjeux contemporains, dessinent les contours d’un avenir professionnel prometteur.
Dans un monde où l'innovation est le nouveau carburant de la croissance, La Porte du Futur s’impose comme une rampe de lancement pour les entrepreneurs africains en quête de grandeur. Avec un objectif ambitieux – "1 000 entreprises pour l’Afrique" – la plateforme parraine les projets. Alors, que se passe-t-il vraiment dans cette ruche de créativité ? Enfilez votre casque, et plongeons dans ce monde où rêves et solutions se rencontrent.
À Goma et Bukavu, les prix s’affichent en dollars, mais se paient en francs congolais. Ce qui semble être une simple conversion monétaire cache une réalité bien plus amère : celle d’un pouvoir d’achat en chute libre, victime d’un taux de change schizophrène. Bienvenue dans l’économie informelle des capitales du Nord et du Sud-Kivu, où 100 $ reçus via Mobile Money se transforment en une farce financière.
À l’heure où les crypto-monnaies créent autant d’enthousiasme que de méfiance, le Sénat américain vient de poser une pierre angulaire dans l’histoire financière mondiale. Sous l’impulsion de Donald Trump, le Genius Act a été adopté le 17 juin, ouvrant la voie à une réglementation inédite pour les stablecoins. Un texte qui fait déjà couler beaucoup d’encre.
Qui aurait cru qu’un mastodonte de plusieurs tonnes puisse se faire détrôner par une minuscule créature ailée ? Si la légende persiste sur la peur supposée des éléphants face aux souris, la réalité est bien plus piquante au Kenya : ce sont les abeilles qui leur donnent des sueurs froides, au grand bonheur des agriculteurs de ce pays de l’Afrique de l’Est.
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