Les entrepreneurs en mode résilience pour le 10ème anniversaire de Kivu Entrepreneurs
Au Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, la vie est un défi quotidien. Mais si vous croyez que les entrepreneurs de la région se contentent de fuir l’insécurité en criant "Sauve qui peut !", détrompez-vous. Ils sont plutôt en mode "Résiste qui peut !" Et, avec Kivu Entrepreneurs, l’incubateur qui a célébré ses dix ans d’existence ce 27 novembre, l’espoir reste de mise.
Kivu Entrepreneurs : parfait pour encourager quelqu'un à suivre ses passions et à réaliser ses ambitions
Imaginez un lieu où les entrepreneurs se rassemblent, partagent leurs idées et innovent. C’est ce que les centres Kazi, essentiels pour l’avenir économique de la RDC, sont censés offrir.
Gilbert Kabanda, ministre de la Recherche scientifique et Innovation technologique de la RDC, a récemment dévoilé son plan ambitieux pour faire de la RDC un bastion scientifique et technologique. Mais derrière cette vision séduisante, que vaut réellement le show ?
Il y a cinq mois, Anthony Nkinzo, alors directeur général de l’Anapi, avait suscité une onde de choc en déclarant sur les ondes de Rfi : "La RDC ne peut se suffire à elle-même". Cette phrase, à la fois provocante et réaliste, traduisait son inquiétude face aux défis économiques colossaux de son pays, tout en ouvrant la voie à une réflexion plus large sur les partenariats économiques nécessaires à la transformation économique de la RDC.
Le commerce international est un moteur essentiel de la croissance économique. Mais il n’est pas sans obstacles. Lors d’un atelier récent organisé par l’Ogefrem à Bukavu, les panelistes ont exploré les défis spécifiques liés à l’acheminement du fret à l’import et à l’export au Sud-Kivu, une province de la RDC qui débouche directement sur l’Afrique de l’Est.
A Kolwezi, la capitale du Lualaba, au sud de la RDC, un phénomène tragique se déroule sous nos yeux. Les habitations de certains quartiers, jadis symbole de prospérité et de vie, s’effacent progressivement du cadastre, chassées par l’avancée inexorable des mines.
Le 20 août 2024 devait marquer une nouvelle ère pour les habitants du Kongo Central. La réouverture tant attendue de la ligne ferroviaire Kinshasa-Matadi promettait de mettre fin à des années de difficultés pour les riverains vivant le long de ce trajet historique.
Dans la ville portuaire de Matadi, dans l’ouest de la RDC, une nouvelle forme de criminalité a vu le jour, exploitant la douleur des familles endeuillées. Les "Kuluna", autrefois simples délinquants de rue, ont trouvé une méthode macabre pour choisir leurs cibles : écouter attentivement les communiqués nécrologiques diffusés à la radio et à la télévision.
Dans le monde, 70% des jeunes peinent à expliquer le changement climatique, selon l’Onu. Coincés entre slogans verts et ignorance scientifique, ils réclament une éducation climatique claire, pratique et engageante. Car à quoi sert une génération qui maîtrise TikTok mais bloquée sur la question "pourquoi la Terre chauffe ?"
Dans le paysage des NTIC, une solution novatrice émerge en RDC : Makuta. Développée par Wolf Technologies, Makuta révolutionne la manière d’effectuer les transactions financières.
Au cœur du territoire de Masisi, la ferme de Lushebere se dresse comme un bastion de l’industrie laitière dans l’est de la RDC. Cependant, elle est menacée par les ombres du M23.
La République démocratique du Congo est en train de se faire une place de choix sur la scène internationale de l'art contemporain. Des artistes tels que Chéri Samba, Freddy Tsimba ou Vitshois Mwilambwe Bondo, sont désormais présents dans les galeries les plus prestigieuses du monde, redéfinissant ainsi les perceptions de l’art congolais. Mais comment expliquer ce phénomène d’essor et cette affirmation d’une identité artistique singulière ?
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