L’ITIE, moteur de transparence et de réforme en RDC : le coordonnateur national s’exprime
Depuis 2005, la RDC a embarqué dans un train à grande vitesse nommé ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives). Et si le trajet est parfois cahoteux, le coordonnateur national de l’ITIE-RDC, Jean-Jacques Kayembe, affirme que ce train n’a jamais quitté sa route : celle de la transparence et des réformes. Retour sur ses déclarations marquantes du 5 avril, à la lumière de la publication du dernier rapport de suivi 2024.
Face aux défis de la transition énergétique, qui entraîne une forte demande en minerais stratégiques, Jean-Jacques Kayembe (à gauche) alerte sur les risques accrus de corruption et de mauvaise gouvernance
Contrairement à la Silicon Valley californienne, célèbre pour ses innovations technologiques, la rue située au cœur de Kampala, capitale dynamique ougandaise, est réputée pour une industrie moins conventionnelle : la contrefaçon qui transcende les frontières nationales.
Dans un monde où l'innovation est le nouveau carburant de la croissance, La Porte du Futur s’impose comme une rampe de lancement pour les entrepreneurs africains en quête de grandeur. Avec un objectif ambitieux – "1 000 entreprises pour l’Afrique" – la plateforme parraine les projets. Alors, que se passe-t-il vraiment dans cette ruche de créativité ? Enfilez votre casque, et plongeons dans ce monde où rêves et solutions se rencontrent.
Quand Jean-Paul Lokumu, directeur provincial de l’Anadec au Sud-Kivu, prend la parole, ça ne ressemble jamais à un monologue monotone. C’est une envolée pleine de fermeté et de bon sens. Cette fois-ci, c’est le Guichet unique de création d’entreprise (GUCE) qui a reçu une salve.
Le Réseau des agri-preneurs pour le développement du Congo intensifie ses efforts pour promouvoir les produits locaux sur le marché européen. Lors de la visite, en ce mois de septembre, du ministre d’Etat belge à Bukavu, le réseau a saisi l’occasion pour plaider en faveur d’un soutien accru de la Belgique afin de faciliter l’accès des produits congolais dans l’espace Schengen.
Mercredi 13 novembre, Kinshasa a accueilli la 10ème édition du forum économique Makutano. On pourrait croire qu’il s’agit d’une simple rencontre d’affaires, mais non. Pour le président Félix Tshisekedi, l’ambition doit bien aller au-delà des simples échanges de cartes de visite et poignées de mains.
Au cœur du tumulte entrepreneurial qui façonne l’avenir économique du Sud-Kivu, une voix émerge avec force et conviction : celle de Jean Paul Lokumu, directeur provincial de l’Agence nationale de développement de l'entrepreneuriat congolais au Sud-Kivu. Lors de l'édition 2024 de l’Impact forum entrepreneurial, Lokumu a captivé son auditoire avec un message puissant : les innovations de l’Anadec sont là pour les petits budgets.
Il y a deux ans, les élèves de l’Institut technique industriel de Goma ont fait sensation en dévoilant deux modèles de véhicules révolutionnaires. Entièrement fabriquées à partir de matériaux recyclés, ces créations ont mis en lumière l’ingéniosité de ces élèves. Le "Mad Max", avec son design tubulaire, et le "Lynx M13", un modèle plus compact, ont suscité l’admiration de la communauté.
Sous un ciel aussi incertain que leur avenir, un groupe de femmes de Goma s'est, le 11 mars dernier, rassemblé pour faire entendre leur voix. À l'initiative de l’organisation Focus des droits et accès, elles ont plaidé auprès du vice-gouverneur du Nord-Kivu chargé des questions administratives, financières et du développement, pour la réouverture des banques, fermées depuis la prise de la capitale du Nord-Kivu par les rebelles.
Dans un monde où les jeunes jonglent entre chômage, doutes et rêves de grandeur, une chose est claire : la bataille pour trouver sa place n’a jamais été aussi rude. Mais à Kinshasa, la jeunesse de l’Église intercommunautaire Prince de Paix, extension de Kintambo, a décidé de ne pas rester en retrait.
Perdu dans une végétation luxuriante à 17 kilomètres à l’est de Kisangani, l’aéroport international de Bangoka est bien plus qu’un simple tarmac. Avec sa piste de 3 500 mètres, il est le témoin silencieux de l’histoire et des turbulences d’une région riche en promesses.
Muanda, joyau côtier du Kongo Central, est en train de perdre l’un de ses trésors les plus précieux : ses mangroves. L’abattage anarchique de ces forêts uniques menace non seulement l’équilibre écologique de la région, mais provoque également la disparition inquiétante de certaines espèces aquatiques de l’océan Atlantique. Une tragédie environnementale qui se joue sous les yeux de tous, dans une indifférence presque générale.
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