Guerre et banques : quand l’argent devient une illusion
C’est une scène devenue tristement banale en temps de crise : des files d’attente interminables devant les rares banques encore ouvertes, des distributeurs automatiques vides, des familles désemparées sans accès à leur propre argent. En RDC, comme ailleurs dans le monde, la guerre ne se contente pas de semer la mort et la destruction, elle gèle aussi les rouages de l’économie. Mais en 2025, doit-on encore dépendre du cash pour survivre ?
La FinTech permet de gérer la trésorerie en temps réel
Il y a plus de quinze ans, l’idée qu’un téléphone portable puisse rivaliser avec une banque semblait farfelue. Mais aujourd’hui, l’Afrique a pris le train du mobile money à toute vitesse, et elle ne compte pas ralentir.
En 2025, la cryptomonnaie n’est plus une curiosité technologique : c’est maintenant un pilier de l’économie mondiale, dans un système financier qui, de plus en plus stake, trade et tokenise.
Dans un mouvement qui pourrait redéfinir le paysage des services financiers en RDC, VODACASH, filiale de Vodacom RDC, et l'IFC, membre du Groupe de la Banque mondiale, ont annoncé, ce 9 octobre, un partenariat stratégique de grande envergure. Cette collaboration vise à promouvoir les services financiers mobiles, tout en mettant en place une réglementation favorisant l'expansion de la monnaie électronique et en réduisant les transactions de gré à gré (OTC).
Dans le paysage des NTIC, une solution novatrice émerge en RDC : Makuta. Développée par Wolf Technologies, Makuta révolutionne la manière d’effectuer les transactions financières.
Ce week-end, la Maison-Blanche a été le théâtre d'une réunion pour le moins atypique : Donald Trump, le président des Etats Unis, a accueilli une pléiade de figures emblématiques du monde des crypto-monnaies. Une rencontre qui soulève des questions sur les liens étroits entre le locataire du Bureau ovale et cet univers numérique en pleine effervescence.
La Rtnc, miroir brisé d’un État en faillite, diffuse chaque jour les promesses de prospérité du gouvernement tout en sombrant dans le chaos. Entre arriérés de primes, conditions de travail déplorables et un bâtiment délabré, les employés lancent un ultime appel à Félix Tshisekedi, menaçant de couper le signal si leurs revendications restent ignorées. La voix du peuple est à bout de souffle.
Le potentiel de collaboration entre la RDC et le Nigeria se révèle immense, en particulier dans le secteur bancaire. L'interconnexion économique de ces deux géants africains, chacun doté de ressources naturelles colossales et d’un marché en pleine croissance, pourrait être un moteur de développement pour l’ensemble du continent.
À l'initiative de l'organisation Focus des droits et accès, un groupe de femmes de Goma s’est, le 11 mars, rendu auprès du vice-gouverneur du Nord-Kivu chargé des questions administratives, financières et du développement, pour plaider en faveur de la validation des diplômes d'État dans les zones rebelles, coupées de Kinshasa, la capitale congolaise.
La conférence "Améliorer la participation significative des femmes dans le secteur de la sécurité en RDC", qui s'est tenue les 18 et 19 septembre à Kinshasa, a été le théâtre d'un débat passionnant sur le rôle crucial des femmes dans la sécurité nationale. Parmi les intervenants, la professeure Régine Nakuwa, membre éminente du centre de réflexion Sofie Kanza, a captivé l'audience avec des réflexions profondes et percutantes.
Devant une audience captivée, Christian Kalume Kayembe, expert en marchés publics et partenariat public-privé, a livré une présentation dynamique et riche sur les défis et opportunités que ces marchés représentent pour les PME. Ce, lors de la masterclass "Innovation et accès aux marchés publics et privés : opportunités de croissance pour les entreprises en RDC".
Entre deux averses tropicales et un embouteillage caractéristique de la capitale congolaise, un vent de renouveau a soufflé sur le Centre financier de la commune de la Gombe. Judith Suminwa, la première ministre au verbe aussi aiguisé que sa vision, a rassemblé l’élite intellectuelle, le 16 décembre, pour un colloque sur l’enseignement supérieur et universitaire (ESU), avec un objectif clair : transformer les étudiants en entrepreneurs.
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