Guerre et banques : quand l’argent devient une illusion
C’est une scène devenue tristement banale en temps de crise : des files d’attente interminables devant les rares banques encore ouvertes, des distributeurs automatiques vides, des familles désemparées sans accès à leur propre argent. En RDC, comme ailleurs dans le monde, la guerre ne se contente pas de semer la mort et la destruction, elle gèle aussi les rouages de l’économie. Mais en 2025, doit-on encore dépendre du cash pour survivre ?
La FinTech permet de gérer la trésorerie en temps réel
Il y a plus de quinze ans, l’idée qu’un téléphone portable puisse rivaliser avec une banque semblait farfelue. Mais aujourd’hui, l’Afrique a pris le train du mobile money à toute vitesse, et elle ne compte pas ralentir.
Le Fonds de garantie de l’entrepreneuriat au Congo (Fogec) redéfinit l’accès au financement pour les petites et moyennes entreprises. Avec des mécanismes innovants pour sécuriser les prêts bancaires, il ouvre une voie royale aux entrepreneurs congolais, transformant des idées audacieuses en success stories. Une initiative ambitieuse qui promet de stimuler l'économie locale et de créer une nouvelle génération de leaders millionnaires.
Après des mois d’attente, le partenariat entre le Fpi et le Fogec passe à l’action : un avenant signé le 8 mai débloque ce programme ambitieux, offrant aux jeunes entrepreneurs congolais des financements à taux réduit pour transformer leurs projets industriels en réalité. Une lueur d’espoir pour l’avenir entrepreneurial du Congo.
Depuis la prise de Bukavu par le M23 et la dégringolade économique qui en découle, une nouvelle espèce d’opérateurs économiques a vu le jour : les taxeurs improvisés des services mobiles. Airtel, Orange, Vodacom, Africell… Autant de noms qui sonnaient autrefois comme une promesse de modernité, mais qui aujourd’hui riment avec racket organisé.
Dans le paysage des NTIC, une solution novatrice émerge en RDC : Makuta. Développée par Wolf Technologies, Makuta révolutionne la manière d’effectuer les transactions financières.
Dans un monde où l'innovation est le nouveau carburant de la croissance, La Porte du Futur s’impose comme une rampe de lancement pour les entrepreneurs africains en quête de grandeur. Avec un objectif ambitieux – "1 000 entreprises pour l’Afrique" – la plateforme parraine les projets. Alors, que se passe-t-il vraiment dans cette ruche de créativité ? Enfilez votre casque, et plongeons dans ce monde où rêves et solutions se rencontrent.
Quand Jean-Paul Lokumu, directeur provincial de l’Anadec au Sud-Kivu, prend la parole, ça ne ressemble jamais à un monologue monotone. C’est une envolée pleine de fermeté et de bon sens. Cette fois-ci, c’est le Guichet unique de création d’entreprise (GUCE) qui a reçu une salve.
S’il fallait lancer une compétition pour couronner la salle de classe la plus bondée du pays, le Kongo Central serait sans doute en lice pour le trophée ! Dans les écoles de cette province de l’ouest de la RDC, les chiffres parlent d’eux-mêmes : plus de 100 élèves par classe, contre un maximum réglementaire de 40.
Dans un monde où les mutations s’enchaînent à la vitesse de la lumière, une question brûle sur toutes les lèvres : "Mais où va la jeunesse ?". Entre chômage rampant et avenir incertain, de nombreux jeunes, y compris au sein des communautés chrétiennes, peinent à trouver leur place.
Le ministre des Finances vient de frapper un grand coup. Avec 1,9 milliard de dollars fraichement signés auprès de la Banque mondiale, la RDC s’offre une place de choix dans la cour des grands projets de transformation. Et si ce n’était pas juste une annonce de plus ?
L'univers crypto n'avait pas vu un tel tremblement de terre depuis le hack de The DAO en 2016. Bybit a vu s'évaporer 1,5 milliard de dollars en un clin d'œil, avec le groupe Lazarus en embuscade. Un hold-up digital digne des plus grands films hollywoodiens. Et maintenant, Ben Zhou, le PDG de Bybit, envisage l’impensable : un rollback d’Ethereum pour récupérer les fonds volés. Autant dire que la décentralisation est en train de transpirer.
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