RDC : du caoutchouc à l’uranium, aujourd’hui les 3T… un pays toujours stratégique !
Depuis le 19ᵉ siècle, la RDC a toujours été au centre des convoitises internationales. Pourquoi ? Parce que son sol et son sous-sol regorgent de trésors stratégiques. Après le caoutchouc, puis l’uranium, le pays est aujourd’hui l’épicentre de la course aux minerais 3T. Une malédiction ? Un atout ? Plongeons dans cette saga géologique et géopolitique.
Que faire pour que la RDC tire profit de ses minerais stratégiques 3T : tantale, tungstène et étain ?
Imaginez un lieu où les entrepreneurs se rassemblent, partagent leurs idées et innovent. C’est ce que les centres Kazi, essentiels pour l’avenir économique de la RDC, sont censés offrir.
Pendant que leurs voisins estampillent fièrement leurs produits de labels de qualité, les opérateurs économiques congolais, eux, se heurtent à un mur bureaucratique, entre lourdeurs administratives, corruption et manque d’infrastructures de contrôle. Résultat ? Le commerce transfrontalier de ce grand pays ressemble à un mauvais sketch où les produits congolais sont souvent refoulés ou sous-payés par manque de certification reconnue.
Dans un mouvement qui pourrait redéfinir le paysage des services financiers en RDC, VODACASH, filiale de Vodacom RDC, et l'IFC, membre du Groupe de la Banque mondiale, ont annoncé, ce 9 octobre, un partenariat stratégique de grande envergure. Cette collaboration vise à promouvoir les services financiers mobiles, tout en mettant en place une réglementation favorisant l'expansion de la monnaie électronique et en réduisant les transactions de gré à gré (OTC).
Depuis la prise de Goma et Bukavu par l’AFC/M23, l’économie vacille sous l’insécurité et la rupture avec Kinshasa. Les rebelles imposent la réouverture des banques. Mais sans garanties de sécurité ni liquidités, elles hésitent. L’informel prend le relais, entre mobile money et troc. Pendant ce temps, l’AFC/M23 tente d’imposer une administration fragile. Les habitants, pris en étau, oscillent entre survie et résignation.
Depuis dix ans, Helena, la première huile de chenille, appelées mposé en République démocratique du Congo, s’affirme comme un acteur incontournable dans un contexte où la sécurité alimentaire et la durabilité environnementale sont des enjeux majeurs. Mais, malgré le potentiel d’Helena, les chenilles mposé restent rares et coûteux dans la capitale congolaise.
La conférence "Améliorer la participation significative des femmes dans le secteur de la sécurité en RDC", qui s'est tenue les 18 et 19 septembre à Kinshasa, a été le théâtre d'un débat passionnant sur le rôle crucial des femmes dans la sécurité nationale. Parmi les intervenants, la professeure Régine Nakuwa, membre éminente du centre de réflexion Sofie Kanza, a captivé l'audience avec des réflexions profondes et percutantes.
Dans la province du Haut-Katanga, au sud-est de la RDC, un vent nouveau souffle sur le Service national, autrefois perçu comme une contrainte. Le centre de formation de Kaniama-Kasese, anciennement considéré comme un mouroir pour les jeunes, est aujourd'hui devenu un symbole d'espoir et de renouveau. L’ancien canard boiteux attire désormais de jeunes désireux de s'engager volontairement, transformant ainsi leur destin.
A l’occasion du dixième anniversaire du Dialogue académique congolais, la communauté congolaise d’Allemagne s’est réunie à Aix-la-Chapelle pour l’événement Congo Tag-Bomoko. Une célébration à travers laquelle les Congolais ont sensibilisé les Allemands aux défis sociaux de leur pays d’origine et appelé à un élan de solidarité internationale.
Gilbert Kabanda, ministre de la Recherche scientifique et Innovation technologique de la RDC, a récemment dévoilé son plan ambitieux pour faire de la RDC un bastion scientifique et technologique. Mais derrière cette vision séduisante, que vaut réellement le show ?
Le samedi 29 septembre, la ville de Duisburg, située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, a été le théâtre d’une célébration exceptionnelle. L'abbé Raymond Médard Kabongo Ilunga, prêtre congolais profondément engagé, a marqué ses 30 ans de vie sacerdotale au sein de la paroisse Christ König.
Dans la capitale congolaise, où la mode est souvent synonyme de superficialité et d’éphémère, Lablonde Kinzamba Angi s’est fait un nom, en tissant un chemin unique dans l’univers vibrant du textile. Créatrice passionnée et visionnaire, son parcours allie éducation, créativité et engagement communautaire, faisant d’elle une figure montante dans ce domaine.
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