Crypto-Monde : quand la finance se décentralise
En 2025, la cryptomonnaie n’est plus une curiosité technologique : c’est maintenant un pilier de l’économie mondiale, dans un système financier qui, de plus en plus stake, trade et tokenise.
Publié le : 12 février 2025
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Autrefois, le président américain voyait les crypto-monnaies comme de la "fumée et des miroirs". Mais tout a changé durant la campagne présidentielle de 2024, quand les entreprises de la blockchain ont garni ses caisses électorales. Désormais, il est devenu le plus grand défenseur crypto.
Le bitcoin ainsi que d'autres crypto-monnaies, comme la nouvelle cryptodevise de Donald Trump
Publié le : 12 février 2025
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Travaux de construction du poste frontalier et du marché moderne de Kamanyola dans la province du Sud-Kivu
PFCIGL
Kamanyola
Publication : 10 mars 2025
Expiration : 02 mai 2025
Travaux de la réhabilitation et modernisation du port de Kalundu dans la province du Sud-Kivu (Rectificatif)
PFCIGL
Kalundu
Publication : 05 mars 2025
Expiration : 14 avril 2025
Construction du marché transfrontalier de Kavimvira dans la province du Sud-Kivu (Rectificatif)
PFCIGL
Kavimvira
Publication : 05 mars 2025
Expiration : 15 avril 2025
Construction du poste frontalier de Nyamona dans la province du Sud-Kivu
PFCIGL
Nyamona
Publication : 03 mars 2025
Expiration : 02 mai 2025
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En 2025, la cryptomonnaie n’est plus une curiosité technologique : c’est maintenant un pilier de l’économie mondiale, dans un système financier qui, de plus en plus stake, trade et tokenise.
A Kigali, dans la capitale rwandaise, un bâtiment attire l’attention non seulement pour son architecture, mais surtout pour ce qu’il représente : une passerelle entre les jeunes talents africains en développement informatique et les entreprises européennes en quête d’innovation.
Après des mois d’attente, le partenariat entre le Fpi et le Fogec passe à l’action : un avenant signé le 8 mai débloque ce programme ambitieux, offrant aux jeunes entrepreneurs congolais des financements à taux réduit pour transformer leurs projets industriels en réalité. Une lueur d’espoir pour l’avenir entrepreneurial du Congo.
Depuis la prise de Bukavu par le M23 et la dégringolade économique qui en découle, une nouvelle espèce d’opérateurs économiques a vu le jour : les taxeurs improvisés des services mobiles. Airtel, Orange, Vodacom, Africell… Autant de noms qui sonnaient autrefois comme une promesse de modernité, mais qui aujourd’hui riment avec racket organisé.
Il y a plus de quinze ans, l’idée qu’un téléphone portable puisse rivaliser avec une banque semblait farfelue. Mais aujourd’hui, l’Afrique a pris le train du mobile money à toute vitesse, et elle ne compte pas ralentir.
La Rtnc, miroir brisé d’un État en faillite, diffuse chaque jour les promesses de prospérité du gouvernement tout en sombrant dans le chaos. Entre arriérés de primes, conditions de travail déplorables et un bâtiment délabré, les employés lancent un ultime appel à Félix Tshisekedi, menaçant de couper le signal si leurs revendications restent ignorées. La voix du peuple est à bout de souffle.
Les banques sont closes, les Ong sont paralysées et les populations scrutent l’horizon avec inquiétude. Si l’argent ne fait pas le bonheur, son absence semble assurément semer le chaos au Sud-Kivu, cette province de l’est de la République démocratique du Congo.
Dans le monde, 70% des jeunes peinent à expliquer le changement climatique, selon l’Onu. Coincés entre slogans verts et ignorance scientifique, ils réclament une éducation climatique claire, pratique et engageante. Car à quoi sert une génération qui maîtrise TikTok mais bloquée sur la question "pourquoi la Terre chauffe ?"
Lors d’une cérémonie émouvante à la résidence royale de Cirunga, Jean-Jacques Purusi a rendu hommage au Mwami Désiré Kabare Rugemanizi II, décédé. Le gouverneur du Sud-Kivu a salué la mémoire d’un leader visionnaire et dévoué, reconnu pour son engagement en faveur de la paix et du développement, dont l’influence s’étendait au-delà des frontières de Kabare.
Imaginez des années de travail, des innovations, des rêves de transformation agricole… et puis, du jour au lendemain, tout s’évapore. Pas à cause d’une mauvaise gestion, ni d’un effondrement économique, mais à cause de la folie des hommes et de la danse macabre des armes.
A Paris, Chris Ayale, jeune entrepreneur de l’est de la RDC, a captivé son auditoire en mêlant pragmatisme et poésie. Lors d’une rencontre stratégique, il a plaidé pour une innovation enracinée dans les besoins des communautés rurales tout en séduisant les financiers.
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